Guest User
February 13, 2025
Nous nous inscrivons en faux avec les avis négatifs que nous avons pu consulter sur le site ! Il faut comparer ce qui est comparable, et ne pas venir ici chercher ce qui n'existe pas et qu'on peut trouver ailleurs. En clair, si vous voulez un service de grand standing, allez sur un RIU de Sal ou Boa Vista, vous y trouverez votre bonheur. Pour avoir fait les deux, vous n'y trouverez pas l'authenticité et la simplicité de gens qui ont toujours le sourire et le cœur sur la main, dans l'hôte et sur l'île en général. Le service est erratique ? Mais no stress est le maître mot ! On arrive à tout obtenir. Pour peu que vous soyez résilient et gentil, le serveur vous améliore le grog à sa façon, et de belle manière ! Les animateurs du club mettent la main à la pâte et sont très conviviaux. Le confort de l'hôtel ne convient pas ? Mais si, il est conforme au descriptif, nous n'avons pas eu de surprises. Pour ce qu'on reste dans la chambre, c'est parfaitement suffisant. On replonge dans les plaisirs simples et révolus du cabanon d'antan dans les calanques de la Côte Bleue entre Carro et l'Estaque, où on vivait dehors. Il y a quelques chiens adorables qui font partie du paysage, et, comme à la maison, on s'y attache vite ! La nourriture ne convient pas ? C'est sûr, pas de plats cuisinés ni de mal-bouffe grasse de restauration rapide... Mais des poissons locaux simplement grillés ou au four, tellement frais qu'ils en remuent les nageoires même cuits, des légumes et des desserts locaux, un vrai régal. Il manque parfois un peu, certes, mais c'est la garantie de fraîcheur sur une île où l'approvisionnement quotidien est fait avec les moyens du bord, sans intervention de grossistes ou de plateformes de livraisons. Nous sommes tant satisfaits que nous y retournerons avec plaisir en fin d'année, pour faire les excursions qui nous manquent à faire. Sachez profiter de la simplicité de l'hôtel, également de celle des habitants de cette île et de celle de Santo Antao. Nous faisons le vœu qu'elles restent imprégnées de cette authenticité qui, espérons le, sera le plus tard possible dégradée par le béton des grands complexes hôteliers.
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