Jean Claude F
September 27, 2024
- Les éléments positifs ; Bon accueil et stationnement dans un parking souterrain gardé. Notre chambre, au 3ème étage, était très spacieuse (35 m² environ), elle était à l'image de celle que nous avions occupé naguère dans le même hôtel, avec chambre à coucher et salon séparé ouvrant sur une terrasse donnant sur des piscines paysagères arborées de palmiers. Climatisation efficace dans les 2 pièces et minibar. Belle salle de bain carrelée avec douche et deux vasques métalliques au design plutôt hospitalier. Soit ! Ajoutons deux téléviseurs à écran plat dans chacune des pièces et, surtout, une douzaine de chaînes francophones dont les 5 principales chaînes françaises. Personnel sympathique et agréable dans l’ensemble. - Les éléments négatifs ; Au niveau propreté, on pourrait largement mieux faire tant dans les chambres que dans les parties communes. Dans notre chambre, certains éléments du mobilier collaient et le sol n’avait plus été nettoyé de longue date. Le pire, l’ambiance dans un restaurant très chargé où il y a une grande proximité des tables. Un brouhaha indescriptible digne d’une criée de marché. Des cris d’enfants parfois stridents (très nombreux), entrechoquement permanent des assiettes, bruits de chaises qu’on traîne, voix des convives s’élevant pour dominer le bruit et être entendus de leur proches. Impossible de manger tranquillement. Nous nous sommes souvent abstenus de prendre du vin en mangeant. A quoi bon si on ne sait pas le déguster en paix. On s’est servi et on a avalé les mets choisis à grande vitesse pour fuir cette cacophonie. Dommage car le buffet est plutôt correct avec, notamment, des fruits délicieux, surtout la pastèque et les ananas. Nous voyageons très régulièrement, fréquentant annuellement de très nombreux hôtels mais jamais nous n’avons été confrontés à un tel vacarme dans un lieu dédié aux repas. Pourquoi n’a-t-on pas réservé un endroit à l’écart et relativement insonorisé pour ceux souhaitant manger en paix ? C’est notre seconde expérience à l’Evenia, l’autre remontant à dix ans environ, mais nous n’y reviendrons plus.
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